Paris

Peintre né à Osaka. Passionné de littérature dès son adolescence, Tsutaka publia la revue confidentielle Katachi ("Forme") et co-édita les poètes de Kobe. Il étudia la peinture auprès de Nabei Katsuyuki à l'Institut d'art occidental Nakanoshima. Après la guerre, il fonda la Société Variété avec Suda Kokuta et participa aux expositions de l'Association Artistique Kōkō ("Action") et de Genbi. Tsutaka fut actif au Japon et à l'étranger, avec de nombreuses expositions de groupe et personnelles en Europe, aux Etats-unis et en Amérique du Sud. Il fut nommé professeur honoraire à l'Université des arts d'Osaka.

Sculptrice et peintre née à Tokyo. Miyawaki obtint un diplôme en histoire à l'Université pour femmes du Japon avant d'étudier les beaux-arts à l'Université Bunka Gakuin à Tokyo, auprès du peintre Abe Nobuya et du sculpteur et peintre Saitō Yoshishige. Elle vécut ensuite aux Etats-unis et exposa à travers le monde, y compris à Milan, Paris et à New York. A partr des années 1960, Miyawaki se concentra sur des œuvres tridimensionnelles, recourant fréquemment à des matériaux tels que le métal et le verre.

Peintre né à Kyoto. Imaï apprend précocement la peinture à l'Ecole Asahi Kodomo Athene. A Tokyo, il étudie auprès d'Ogi Tarō, d'Umehara Ryūsaburō et de yasui Sōtarō. En 1952, il se rend en France et rejoint le mouvement informel, partageant son temps entre la France et le Japon et exposant régulièrement en Europe, en Amérique et au Japon. Vers 1960, il s'éloigne des peintures dynamiques de grandes dimensions pour se concentrer sur la restitution de thèmes et de formes artistiques du Japon traditionnel.

Peintre né à Kyoto, neveu du peintre de style japonais Dōmoto Inshō. Dōmoto étudie au Département de peinture de style japonais (nihonga) à l'Université des arts de Kyoto. Après un voyage en France avec son oncle, il décide de se consacrer à la peinture à l'huile. Il se rend en France en 1954, où il reste jusqu'en 1965. Il participe activement à des expositions internationales, dont la Biennale d'art de Venise. Dōmoto était proche du mouvement Informel, et particulièrement de MIchel Tapié. Il compte parmi les peintres abstraits les plus prééminents du Japon d'après-guerre.

Peintre de style occidental (yōga) de la préfecture de Wakayama. Sekine étudia auprès de Nakamura Makoto puis de Yoshihara Jirō. Il fut membre fondateur de l'Association d'art Gutai. Après avoir quitté Gutai en 1959, il œuvra à la représentation abstraite de motifs issus du réel. Sekine est connu pour son style propre, un hybride entre la représentation et l'abstraction. Ses œuvres furent largement montrées au Japon et à l'étranger, notamment au Festival d'art japonais (1966, 1970) et ailleurs.

Calligraphe d'avant-garde né dans la préfecture de Hyōgo. Comme son pair Inoue Yūichi, Morita étudia auprès du maître de la calligraphie Ueda Sōkyū. Il co-fonda le groupe d'avant-garde Bokujinkai avec Inoue, et fut le fondateur et éditeur de la revue Bokubi ("Beauté de l'encre"). Le groupe comme la revue révolutionnèrent la calligraphie japonaise traditionnelle et firent connaître la calligraphie japonaise d'avant-garde auprès d'un public international. Il reçut à titre posthume la médaille au ruban bleu foncé.

Un calligraphe d'avant-garde de Tokyo, Inoue étudia la calligraphie auprès d'Ueda Sōkyū, un calligraphe d'avant-garde qui fut également le mentor de Morita Shiryū. Inoue co-fonda le groupe de calligraphes Bokujinkai. Ses calligraphies expérimentales de grandes dimensions figurant un seul caractère chinois résonnèrent avec le mouvement concomitant de l'expressionnisme abstrait, insufflant une vie nouvelle dans le monde de la calligraphie au Japon. Perçu comme audacieuses et innovantes, ses œuvres furent largement exposées au Japon et à l'étranger, y compris lors de Dokumenta 2 à Cassel (1959) et à la Biennale de São Paulo (1957,1961).

Un calligraphe d'avant-garde de Tokyo, Inoue étudia la calligraphie auprès d'Ueda Sōkyū, un calligraphe d'avant-garde qui fut également le mentor de Morita Shiryū. Inoue co-fonda le groupe de calligraphes Bokujinkai. Ses calligraphies expérimentales de grandes dimensions figurant un seul caractère chinois résonnèrent avec le mouvement concomitant de l'expressionnisme abstrait, insufflant une vie nouvelle dans le monde de la calligraphie au Japon. Perçu comme audacieuses et innovantes, ses œuvres furent largement exposées au Japon et à l'étranger, y compris lors de Dokumenta 2 à Cassel (1959) et à la Biennale de São Paulo (1957,1961).

Calligraphe d'avant-garde né dans la préfecture de Hyōgo. Comme son pair Inoue Yūichi, Morita étudia auprès du maître de la calligraphie Ueda Sōkyū. Il co-fonda le groupe d'avant-garde Bokujinkai avec Inoue, et fut le fondateur et éditeur de la revue Bokubi ("Beauté de l'encre"). Le groupe comme la revue révolutionnèrent la calligraphie japonaise traditionnelle et firent connaître la calligraphie japonaise d'avant-garde auprès d'un public international. Il reçut à titre posthume la médaille au ruban bleu foncé.

Peintre né à Kobe. Il quitta l'Université des arts d'Osaka pour travailler en tant que designer commercial, tout en étudiant en privé auprès de Yoshihara Jirō du groupe Gutai. Il se rendit en France en 1952, et continua de vivre et de travailler à Paris. Il se départit du style de ses premières œuvres marquées par un travail distincitif du pinceau, pour une approche plus plate combinant des signes et des symboles. Sugaï fut parmi les premiers peintres japonais d'après-guerre à atteindre une renommée internationale.

Calligraphe d'avant-garde né dans la préfecture de Hyōgo. Comme son pair Inoue Yūichi, Morita étudia auprès du maître de la calligraphie Ueda Sōkyū. Il co-fonda le groupe d'avant-garde Bokujinkai avec Inoue, et fut le fondateur et éditeur de la revue Bokubi ("Beauté de l'encre"). Le groupe comme la revue révolutionnèrent la calligraphie japonaise traditionnelle et firent connaître la calligraphie japonaise d'avant-garde auprès d'un public international. Il reçut à titre posthume la médaille au ruban bleu foncé.

Calligraphe d'avant-garde né dans la préfecture de Hyōgo. Comme son pair Inoue Yūichi, Morita étudia auprès du maître de la calligraphie Ueda Sōkyū. Il co-fonda le groupe d'avant-garde Bokujinkai avec Inoue, et fut le fondateur et éditeur de la revue Bokubi ("Beauté de l'encre"). Le groupe comme la revue révolutionnèrent la calligraphie japonaise traditionnelle et firent connaître la calligraphie japonaise d'avant-garde auprès d'un public international. Il reçut à titre posthume la médaille au ruban bleu foncé.

Calligraphe d'avant-garde né dans la préfecture de Hyōgo. Comme son pair Inoue Yūichi, Morita étudia auprès du maître de la calligraphie Ueda Sōkyū. Il co-fonda le groupe d'avant-garde Bokujinkai avec Inoue, et fut le fondateur et éditeur de la revue Bokubi ("Beauté de l'encre"). Le groupe comme la revue révolutionnèrent la calligraphie japonaise traditionnelle et firent connaître la calligraphie japonaise d'avant-garde auprès d'un public international. Il reçut à titre posthume la médaille au ruban bleu foncé.

Calligraphe d'avant-garde né dans la préfecture de Hyōgo. Comme son pair Inoue Yūichi, Morita étudia auprès du maître de la calligraphie Ueda Sōkyū. Il co-fonda le groupe d'avant-garde Bokujinkai avec Inoue, et fut le fondateur et éditeur de la revue Bokubi ("Beauté de l'encre"). Le groupe comme la revue révolutionnèrent la calligraphie japonaise traditionnelle et firent connaître la calligraphie japonaise d'avant-garde auprès d'un public international. Il reçut à titre posthume la médaille au ruban bleu foncé.